Le nombre relatives au voyageurs dans les nations tropicaux originaire du Suisse et d'Europe est en croissance constante. Un nombre grandissant spécilisés dans ces fameuse voyageurs intègrent pendant leur voyage des activités sportives en eau douce: natation, rafting, kayak, canoë, etc. Certains activités exposent les participants à des pathologies diverses, traumatiques correctement sûr, mais également infectieuses. La grande majorité de ces pathologies infectieuses résultent du contact direct chez la peau ou bien les muqueuses, intactes ou non, avec de l'eau contaminée grace aux micro-organismes, tel l'illustrent le cas de figure et la exposé qui suivent. Monsieur M. présente comme au 27 septembre, 3 jours après son retour d'un séjour de quinze matins en Thaïlande, un état fébrile jusqu'à 40°C, accompagné de frissons, de céphalées frontales sans compter la myalgies diffuses. Il consulte un service d'urgence le 28 septembre sur un frottis à la recherche du plasmodium se révèle négatif. Au rencontré de l'absence de défervescence malgré cette prise d'analgésiques, ce dernier se rend un 2 octobre chez la consultation de médecine tropicale relatives au l'Unité de recherche médicale des voyages et des migrations (UMVM) des Hôpitaux maître de Genève (HUG).
L'itinéraire suivi par un patient lors de bruit séjour en Thaïlande a été un suivant: Bangkok, Chiang Maï et environs, rafting (trois jours) proche de la frontière avec un Myanmar, Phuket mais aussi Ko Samui. Un patient n'a point pris de prophylaxie médicamenteuse anti-malarique. Une vaccination (deux doses) contre l'hépatite Domine a été pertinemment effectuée avant un voyage et cette dernière vaccination orale contre la pyrexie typhoïde (Vivotif) date de quatre années. Il n'a pas été épargné par les moustiques pendant son séjour mais n'a pas noté de piqûres d'autres arthropodes. A noter l'absence de relation sexuelle non protégée déclarée. L'examen physique du patient révèle un état général conservé, la température axillaire à 38, 4°C, la tension artérielle dans 12/8, un pouls à 110/min & une fréquence respiratoire à 16/min. Personnes note à l'examen de la épiderme un rash maculaire discret sur un tronc mais l'absence de tache black. Les conjonctives se présentent comme sans particularités. La majorité des ganglions ne se présentent comme pas palpables. L'auscultation cardio-pulmonaire est physiologique. L'examen de l'abdomen révèle un foie non agrandi sensible à la conflit.
La rate n'est pas palpable. L'examen neurologique ne montre aucun signe d'irritation méningée. Les résultats de bilan sanguin se trouvent être présentés dans ce tableau 1. L'examen d'urine montre une présence d'urobilinogène, de bilirubine, de monocytes (30/champ) et relatives au cylindres leucocytaires. Un ultrason abdominal réalisé le même jour ne révèle ni abcès hépatique ni dilatation de nombreuses voies biliaires. Ce diagnostic différentiel comprend mieux la leptospirose, ce typhus des fardoches (maladie de Tsutsugamushi), la fièvre typhoïde, une infection virale (dengue, séroconversion VIH). Au vu de l'anamnèse de rafting, onakunevie.com et des survols de laboratoire compatibles avec le diagnostic relatives au leptospirose (atteinte hépatique et rénale), le traitement de doxycycline 2 x 100 mg/j per trognon est initié. Sous raison de une persistance de l'état fébrile le 4 octobre, ce traitement est complété par de ciprofloxacine 2 x 500 mg/j per os afin de couvrir notre possible fièvre typhoïde. L'évolution est progressivement favorable avec magie de l'état fébrile et amélioration du l'état général lors le 7 octobre. Les hémocultures de ce 2 octobre resteront négatives ainsi sommaire l'antigène p24 & les sérologies vis à vis de la dengue, les rickettsioses et ce VIH.
La sérologie opposé à la leptospirose (micro-agglutination) montre une turgescence supérieure à une paire de dilutions entre le 4 et un 21 octobre, confirmant ainsi le bilan de leptospirose. Due au spirochète Leptospira interrogans composé relatives au 23 sérogroupes divisés en plus relatives au 200 sérovars, la leptospirose est la zoonose affectant beaucoup de mammifères. 1 C'est une affection œcuménique, dont l'incidence se révèle être plus élevée en zone tropicale, pareillement à dans les provinces rurales et humides. Lorsque les trois facteurs sont réalités comme en Afrique Centrale en 1996 lors des inondations ayant suivi de nombreuses ouragans, des épidémies importantes peuvent survenir. 2 La transmission à l'homme résulte du contact d'une peau abrasée ou d'une muqueuse avec de la pature d'animaux infectés et aussi avec de l'eau contaminée par de nombreuses urines de rongeurs ou d'autres mammifères infectés. La période d'incubation est généralement du sept à douze jours et n'excède pas vingt jours. La leptospirose est divisée en une phase d'invasion de ce sang et des organes (phase septicémique) suivie d'une adéquation dominée par cette réponse immunologique (phase immune).